Parentalité
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Un peu de silence, beaucoup d’amour, et un corps qui s’épuise
Ce témoignage n’est pas une plainte. Il dit simplement l’écart. Entre l’amour et l’épuisement. Entre la joie de retrouver un proche et le besoin vital de réguler les stimulations. Entre l’attachement sincère et les limites neurologiques. C’est cela aussi, vivre avec un handicap invisible. C’est aimer sans pouvoir toujours suivre. C’est faire des choix d’énergie. C’est avoir besoin de solitude pour pouvoir être en lien.